![]() ![]() Eiseley’s attention to other-than-human life forms, both living and extinct, allows him to see what most scientists of his generation could not see. 1 This term was coined by Paul Crutzen and his colleagues Will Steffen, Mark Williams, Jan Zalasiewic (.)ġLoren Eiseley speaks of his scientific profession as archeologist and anthropologist humbly as that of “a bone hunter,” yet his writings describe his field discoveries with poetic language and they open onto philosophical reflections on human and nature.Son œuvre force le lecteur à participer à son projet de rénovation de notre univers mental et culturel. Les écrits de Eiseley pressent l’humanité de renouer avec notre passé animal de façon à respecter l’ordre naturel dont nous sommes issus. De ce fait, il anticipe le point de vue éco-centrique qui devient nécessaire dans la période qui a fait suite à la révolution industrielle, période de plus en plus désignée comme l’anthropocène. Il pense que l’homme moderne s’est dénaturé en devenant le destructeur de la planète, entrainant la mort et l’extinction des formes de vie non humaines. Plutôt que d’accepter la doxa des sciences mécaniques modernes, il utilise son savoir d’archéologue ainsi que son expérience personnelle pour trouver de nouvelles ouvertures sur l’univers et sur la place de l’homo sapiens en son sein. Il remet en cause les thèses sur la science, la nature et l’homme qui avaient cours à son époque. Loren Eiseley se pose en scientifique qui critique les pratiques scientifiques de ses contemporains. ![]()
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